Expositions

  “ Le cheval est un cadeau de dieu à l’homme.”

• TELETHON en 2014 Trégueux côtes d’Armor
• TREG’ART EN 2015  Trégueux
• Chez Jean-Pierre Février 20 rue de Rohan 22000 SAINT BRIEUC  DU 03.03 AU 27.04.2015
• 25 et 26 juillet Festival des peintres de  Perros-Guirec (22700) plage de Trestraou http://www.ouest-france.fr/le-2e-festival-des-peintres-hisse-ses-couleurs-3459560
• dimanche 2 Aout 2015 les galops du coeur à Lanrodec.
• A VENIR: marché de Noël du 11 au 13 décembre 2015 Trégueux salle  Bleu Pluriel

Quelques uns des plus merveilleux chevaux peints :

Les tableaux de Paolo Ucello nous montrent des batailles ou avec leurs cavaliers, des chevaux robustes, prêts à répondre au mors et à l’éperon, vont bondir sur l’ennemi et le piétiner. La bataille de San Romano à la National Galerie ou la bataille du Louvre nous entraînent à la suite de ses coursiers remplis d’ardeur.

Vittorio Pisanello excellait lui aussi à rendre la vie frémissante du cheval en action.

Léonard de Vinci a peint des chevaux superbes en plein combat.

Lorsque Raphaël a campé Saint Georges sur son cheval blanc, il s’est souvenu d’un camée représentant Constantin 2 et en peignant dans les chambres du Vatican Héliodore chassé du Temple, il a donné un rôle prépondérant à la magnifique monture de l’Archange.

Eugéne Fromentin découpe sur le ciel des chevaux bais et gris (coup de lance; musée d’Anvers).

Rubens a peint des chevaux des toutes les robes, il a pour les chevaux blancs une dilection particulière.

Les souverains, les chefs d’armées, les grands seigneurs aimaient se faire peindre sur leur cheval favori.Piédestal vivant, ce compagnon de bataille ou de chasse ajoutait au prestige du modèle, lui donnait toute son importance.

Parmi les plus beaux portraits équestres il faut mettre hors pair celui de Charles Quint par le Titien, ceux de Philippe 4 du conte duc d’Olivarès, du prince don Balthazar Carlos par Vélasquez.

Théodore Géricault peint l’âme des chevaux. Lorsqu’il a peint Tamerlan, l’étalon blanc de Napoléon 1er, il atteint la perfection même. Ce n’est pas un, mais le cheval de guerre.

Goya, à côté des portraits officiels ou les chevaux sont infiniment plus nobles que les souverains assis sur leurs dos, nous a laissé dans ses études taureaumachiques des spécimens incomparables de ces chevaux andalous dont les mouvements ont autant de grâce et de vivacité que ceux des belles senoritas qui les regardent évoluer.